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Pérou

Un p’tit bout de côte péruvienne

 

 

Pour la suite du programme direction Lima où nous passons nos derniers jours avec Muriel et Dorian.

Ils finissent leur vacances, nous aussi « un peu » (oui, c’est osé de dire ça), alors on en profite! Vincent va au casino, Jess fait les boutiques… Whaouuuuuu!!! Une vraie trêve dans le voyage. Et, comme si c’était une tradition, une sorte de passage obligatoire, une pratique quasi religieuse, nous ne voyons de Lima que ces restaurants… De toute façon l’épais brouillards qui a pris possession de la ville ne permet pas de voir grand chose au delà de 10m (j’exagère à peine..). Nous retrouverons nos habitudes à deux après leur départ!!! Nous retrouverons nos auberges de jeunesse, nos petits resto locaux et notre budget plus serré. En gros nous ferons pénitence,Enfin presque….

A noter parmi tous ces resto, le Malabar. Et ouai!!!!! Les routards de pacotille que nous sommes se seront fait un très très bon restaurant pendant leur tour du monde! Et au Pérou! Et en jean/Converse! Et un 2 étoiles au Michelin, svp!!!!!! Afin de laisser un peu de suspense, nous détaillerons le menu complet dans un futur article sur la cuisine péruvienne.

 

Ica et l’oasis Huacachina

Avant même de laisser nos amis à l’aéroport, nous prenons un bus pour le sud. On préfère laisser Lima et sa grisaille pour trouver Ica et son désert. Nous arrivons au terminal de bus vers 23h et prenons un taxi pour nous rendre à l’hôtel Villa Jasmin. Le quartier est très particulier, c’est limite dérangeant.. Le taxi doit laisser se papiers à l’entrée du quartier et rouler 5 bonnes minutes pour arriver à destination.On ne croise pas âme qui vivent, aucun commerce, 1 ou 2 restaurants, rien d’autre que des hôtels et des jolies maisons. On se croirai à Wistera Lane hors période de tournage….. Y-a-t-il de tels problèmes de sécurité dans la ville? Ou est-ce juste du surprotectionnisme? Nous ne trouverons pas réponses à nos questions….

Le lendemain, nous partons voir l’oasis de Huacachina. Ces dunes aux portes de la ville sont impressionnantes.

 

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Avis aux amateurs de sensations forte, l’activité du coin est pour vous. Elle consiste à faire un tour en buggy dans les dunes. Le chauffeur, en bon professionnel se délecte des cris de ses passagers. On comprend vite pourquoi il n’y pas pas de ceinture de sécurité mais des harnais à la place… Jess a cru s’envoler une fois ou deux….

 

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Puis vient le moment du surf…. On nous dépose en haut d’une dune et c’est parti pour 3, 4 descentes. Sauf que les planches sont pas de super qualité et il est quasiment impossible de tenir debout dessus… Soit! Si on ne peut pas être debout, allonge-on nous! La tête la première et c’est parti mon kiki!!!

 

 

Quelques kilos de sables dans les chaussures, les poches, la bouche et les oreilles plus tard, nous avons droit au cliché du romantisme : le coucher de soleil sur le désert. Il faut avouer, c’est magnifique…

Le lendemain, pour se remettre des émotions de la veille, on profite de la piscine de l’hôtel avant de prendre un bus de nuit direction Aréquipa. Et attention le must du must, l’instant « fun » du trajet, on a droit à une partie de Bingo dans le bus!!!! Si au moins on avait gagné….

 

Aréquipa, la ville blanche et ses sentinelles géantes

 

Directement sortis du bus, la première chose qui frappe sont les volcans qui, comme des protecteurs, veillent sur la ville. Puis, comme nous l’avions entendu, nous constatons rapidement que les aréquipéniens  ne sont pas vraiment péruviens… Le taxi nous explique au bout de 2mn de trajet qu’içi on est dans un autre pays… Nous ne passerons qu’un journée içi, mais cette cité moderne et historique est attachante. Une fois de plus nous tombons sur un défilé… Policier et infirmière aujourd’hui!

 

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Nous visitons ensuite le monastère de Santa Catalina, une véritable ville bleue et orange dans le coeur de la ville blanche.

 

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4 réponses sur « Un p’tit bout de côte péruvienne »

Cool la vidéo ! 😉
Par contre, sans les commentaires, les 1ères photos laissent penser aux déserts d’Afrique : je ne soupçonnais même pas qu’il pouvait y en avoir au Pérou – merci pour ma culture perso
🙂

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